Hi,
I hope no-one is bothered by a post that isn't particularly about Linux.
It's about my experience choosing high-speed internet access in
Luxembourg and ends with a request for info about Alternet/Tiscali.
I recently arrived in Luxembourg and started looking for a good ISP.
My discovery? It's incredibly hard to find out any quality of service
info on an ISP. There is, for instance, no website that collects
information and complaints about ISPs. I find this amazing because
the contracts here are very restrictive, and if you don't like the
service, there's nothing you can do but wait until the contract ends.
I was used to being able to get out with 30 days notice.
Anyway, at first, I assumed I' go with DSL because I've always have.
Then tried to persuade me to consider cable - cheaper, faster, and
offering a telephone alternative to P&T. Coditel is the cable
provider in my area. The cable fan I spoke to is in an Eltrona area.
Try as I might, I couldn't get any objective information on the
Coditel service. What I did get was a lot of anecdotal evidence that
Coditel was having serious tech problems with their telephone
service, and their billing and customer support service was seriously
lacking. I did hear that their internet service worked as advertised.
But I also heard that the company's quality had gone downhill since
it was acquired by a Belgian company. Since I'm not really interested
in the local cable offerings for TV, I'd only have cable if it
offered me a way to avoid paying for a P&T landline, as well. Based
on what I could find out, I dropped the idea.
Next I returned to DSL. Having tracked the prices, I could see that
competition was having a noticeable effect, reducing the cable price
advantage. But again, I had limited information on quality of service.
So I devised an experiment. I have a DSL modem that I bought in
Canada. I decided to ask all 11 DSL ISPs I knew whether my DSL modem
ought to work here. I sent the message listing the technical specs of
my modem (I had already ascertained with the manufacturer that it
probably will work here) at 15:58 on Dec. 12. It's not 16:32 on Dec.
14, and so far, only 4 of the ISPs (2 of which turned out to be
different names for the same outfit) have bothered to respond.
Based on this experiment and my interaction with the people who
responded and their prices, I am considering signing up with Alternet/
Tiscali (they responded right away with accurate, detailed
information and had a deal on a level with the cheapest on the
market. I wonder if I could trouble list members for any information
that I should consider before committing myself.
Thank you,
Mike
mglists@gmailcom
-------- Original Message --------
Subject: [escape_l] [SPAM] Charge contre le téléchargement
Date: Sat, 24 Dec 2005 18:23:00 +0100
From: Ludovic Pénet <ludovic(a)penet.org>
(en ligne sur http://blog.temps-nouveaux.net/index.php/2005/12/24/64-
charge-contre-le-telechargement )
Quelques commentaires sur la « charge contre le téléchargement »
publiée de Libération de samedi 24 décembre.
On trouve pages 28 et 29 de Libé de ce samedi 24/12 (pas trouvé les
versions en ligne) une charge pour le moins brutale contre la licence
globale, manifestement orchestrée par les majors, et où des artistes
que l'on a connus plus clairvoyants se sont laissé entraîner.
Parmis eux, on remarquera Benabar (dont je viens d'ailleurs d'acheter
le dernier album, que je vous recommande), qui avait signé l'appel
à l'arrêt des poursuites lancé par le Nouvel Observateur.
Les grands arguments avancés sont les suivants :
1) Télécharger, c'est voler !
2) La gratuité démagogue !
3) Quelle répartition des recettes ?
4) Vous allez tuer la création !
5) De l'argent pour les FAI mais pas pour les artistes !
Bref, le discours martelé par le SNEP depuis maintenant déjà quelques
années...
Quelques éléments de réponse :
1) Il ne faut jamais oublier qu'il s'agit ici de bien immatériels.
Non, faire une copie d'une oeuvre ne revient pas à voler son support.
Une fois que le support m'a été pris, je ne l'ai plus. Une fois
qu'on a fait une copie de celle à ma disposition, il me reste toujours
ma copie.
2) La licence globale n'est en rien gratuite. Nombre de personnes
s'étaient d'ailleurs un temps ému de ce coût supplémentaire et cela
a été l'un des principaux arguments pour retenir une offre optionnelle
plutôt qu'une licence globale obligatoire. 5 euros par mois, cela
fait 60 euros par an, à répartir ensuite entre les ayant droits.
3) Sans même évoquer les progrès que permet la technique, il est
pour le moins curieux que des « poids lourds » de la scène musicale
et la SACEM s'émeuvent de la difficulté à répartir une caisse entre
ayant droits. Les sociétés de gestion collective sont pourtant rompues
à l'exercice et ont l'habitude de recourir à divers sondages pour
répartir les droits. Cela vaut toujours sur l'Internet. Mais il est
également possible de faire mieux en analysant les flux transitant
par les tuyaux des fournisseurs d'accès. Cette solution présente
l'avantage de ne requérir aucune modification des postes clients,
de ne pas imposer l'intégration d'une quelconque mesure technique
dans les logiciels utilisés. Elle peut être anonyme et adaptée à
la puissance de traitement actuellement à notre disposition. S'il
serait en effet impossible d'analyser les flux en temps réel, et
donc de filtrer, sauvegarder une tranche de flux (disons d'une heure),
l'anonymiser (en changeant les adresses IP présentes dans le flux)
puis la faire analyser par un tiers est envisageable. Cette analyse
pourra à l'avenir tirer partie de meta-données spécifiques (des droits
indiqués dans les fichiers), de « marques d'eau » (watermarking,
sorte de signature intégrée à l'oeuvre) permettant de reconnaître
l'oeuvre ; elle peut dès aujourd'hui consister en la comparaison
de signatures calculées à partir des fragments de fichiers musicaux
trouvés dans le flux avec une base de données de morceaux. Une telle
solution serait, au passage, bien plus précise que les actuels sondages,
dont on peine à croire qu'ils prennent en compte les morceaux joués
lors d'une fête privée se déroulant dans une petite salle.. Autre
argument à l'appui de cette faisabilité : les majors font déjà des
statistiques des échanges sur les réseaux P2P et trouvent le moyen
d'identifier et de porter plainte contre des échangeurs. Ce même
type de technologie peut être utilisé pour rémunérer plutôt que pour
réprimer.
4) Grâce à la répartition au plus juste de la véritable manne financière
apportée par la licence globale, plus de créateurs pourront donc
être rémunérés au plus juste et à moindre frais (un esprit taquin
pourrait ironiser sur les frais généraux de la SACEM, mais peut-être
n'est-ce pas le moment dans ce contexte tendu). Cela encouragera
la création en améliorant son financement et en la rendant plus accessible
au plus grand nombre.
5) L'argument de Benabar, que j'apprécie particulèrement, sur les
30 euros payés par mois pour l'accès internet contre 7 euros pour
la licence globale m'a tout d'abord interpellé. Il est pourtant étrange
: se préoccupe-t-on du modèle de la chaîne hi-fi de l'auditeur ?
Faut-il faire payer plus cher au propriétaire d'une chaîne Bang&Olufsen
qu'à celui d'un petit appareil aux performances douteuses fabriqué
dans des conditions indéterminées ? Est-ce que l'on vend le carburant
plus cher aux propriétaires de BMW (ou à ceux de 4x4 dont par le
Benabar) qu'à ceux d'une Logan ? À l'évidence, non. Ce qui importe,
c'est que la création soit financée. Mais Benabar met le doigt sur
un point important : la non-progressivité de l'abonnement. Dans un
monde idéal, une contribution proportionnelle devrait être prélevée
et répartie selon à l'aide des systèmes mentionnés plus haut. Ce
serait à l'évidence une meilleure solution.
Une des clés de la sortie de ce débat invraisemblable, où l'on voit
bien que gens de l'Internet et gens du spectacle ne se sont pas
suffisamment
parlé - la faute en revient au ministère de la culture - est peut-
être dans la redéfinition de la répartition des revenus de la licence
globale. Pas seulement entre les ayant droits actuellement sous le
robinet de la copie privée (auteurs, artistes-interprètes et producteurs,
pour rester dans le monde de la musique), mais en intégrant d'autres
acteurs indéniablement créatifs, comme, par exemple, les ingénieurs
du son Un bon mixeur apporte indéniablement un plus à un enregistrement,
ainsi que sa personnalité. Pourquoi n'a-t-il pas droit à une rémunération
(à un nouveau droit patrimonial) et à la reconnaissance de la personnalité
de son travail (à un nouveau droit moral) ? Nous ne sommes plus en
1957, les chanteurs, les groupes sont rarement enregistrés en une
fois devant un unique micro...
Il est décidément plus que nécessaire de prendre le temps de mener,
avec toutes les parties concernées, un large débat sur le droit
d'auteur et les droits voisins à l'ère du numérique.
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I would rather be exposed to the inconveniences attending too much
liberty than to those attending too small a degree of it.
-Thomas Jefferson, 3rd US president, architect and author (1743-1826)
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Serge Marelli, Luxembourg
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Bonjour à tous !
Mon nom est Carlos. Je viens de m'inscrire sur Lilux. Il faut bien commencer par quelque chose mais je ne sais pas me présenter.
Alors je vous souhaite à tous un Joyeux Noël.
Cordialement,
Carlos
Hi,
only reminding you all that we've got a LiLux meeting tonight,
with the presentation "txt2tags and latex-beamer a fantastic duo!".
See you at the LGL (20h00),
Eric
Naïvement, je pensais que TCPA reposait en paix...
ben non, il revient avec du mordant et une argumentaire commerciale et
marketing de choc...
Slashdot nous relate : No More Internet Anonymity
"This Article tells of an Orwellian chip that, once installed in your
computer (and not by your choice), will allow any website you visit to
"read" your identity.
<http://yro.slashdot.org/article.pl?sid=05/12/15/0028256>
MSNBC est plus "optimiste" mais bon, dans MSNBC il y a MSN...
"(...)But although anonymity has been part of Internet culture since the
first browser, it’s also a major obstacle to making the Web a safe place
to conduct business: Internet fraud and identity theft cost consumers
and merchants several billion dollars last year. And many of the other
more troubling aspects of the Internet, from spam emails to sexual
predators, also have their roots in the ease of masking one’s identity
in the online world."
<http://www.msnbc.msn.com/ID/10441443>
bref
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I would rather be exposed to the inconveniences attending too much
liberty than to those attending too small a degree of it.
-Thomas Jefferson, 3rd US president, architect and author (1743-1826)
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Serge Marelli, Luxembourg
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Pour info
-------- Original Message --------
Subject: [escape_l] L'UE adopte la directive Big Brother et ignore
l'industrie et la societe civile
Date: Wed, 14 Dec 2005 20:00:32 +0100
From: Gerald Sedrati-Dinet <gibus(a)ffii.fr>
To: escape_l(a)freescape.eu.org
COMMUNIQUÉ de PRESSE FFII --
[ Europe / Économie / Législation ]
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L'UE adopte la directive Big Brother et ignore l'industrie et la
société civile
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/Le 14 décembre 2005, Strasbourg, France -- Le Parlement européen a
adopté aujourd'hui une directive qui créera la plus grande base de
données de surveillance au monde, traçant et stockant toutes les
communications au sein de l'Union européenne. « À partir de maintenant,
tous les citoyens européens seront pistés et surveillés comme s'ils
étaient des criminels ordinaires », déclare Pieter Hintjens, président
de la FFII./
La directive sur la conservation des données est passée avec 378 voix
contre 197, se conformant aux accords entre le Conseil et les deux plus
importants partis du Parlement, les conservateurs du PPE-DE et les
socialistes du PSE. Le rapporteur sur cette directive, le libéral
Alexander Alvaro, a fait retirer son nom du rapport en signe de
protestation.
Jonas Maebe, membre du bureau de la FFII, déclare : « Parmi d'autres
mesures cinglantes, la directive impose l'enregistrement de l'origine
et de la destination de tous les courriels que vous envoyez et de tous
les appels téléphoniques que vous passez. En outre, la directive ne dit
rien à propos de qui va financer ces enregistrements, ce qui occasionne
une distorsion substantielle du marché des télécommunications. »
« Par ailleurs, la directive ne tient pas compte du fonctionnement des
protocoles Internet. Par exemple, le traçage des appels téléphoniques
sur Internet est généralement impossible sans surveillance rapprochée
du contenu des paquets de données. La raison en est que de telles
connexions ne sont pas forcément établies depuis un serveur central sur
lequel le stockage imposé pourrait s'appliquer. Au-dessus de tout ceci,
vous avez des techniques comme le tunneling (VPN, Virtual Private
Network ou réseau privé virtuel) qui rendent tout bonnement impossible
de regarder le contenu », ajoute-t-il.
Les données rassemblées pourront être rendues disponibles sans garantie
particulière et sans se limiter à certains types de crimes. Il n'y aura
aucune évaluation indépendante, aucune mesure supplémentaire préservant
la vie privée et aucun garde-fou spécifique pour la sécurité. Les
données seront conservées pour des durées allant de 6 mois à n'importe
quelle période pour laquelle un État membre pourra convaincre la
Commission.
Hartmut Pilch, vice-président de la FFII, poursuit : « Ce résultat
montre que nous devons rester vigilants en permanence et travailler sur
toutes les directives pertinentes dès leur élaboration. Aujourd'hui
même, le projet de seconde directive sur l'application des droits de
propriété intellectuelle (IPRED2, Intellectual Property Rights
Enforcement 2), également condamné unanimement par l'industrie et la
société civile, menace quiconque pris dans un litige sur un brevet,
d'être considéré comme criminel. »
-----------------------------------------------------------------------
Informations complémentaires
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- Vue d'ensemble recto-verso des conséquences des principaux
amendements
http://www.ffii.org/~jmaebe/dataret/plen1/summary.pdf
- Flux vidéo en anglais de la session plénière d'aujourd'hui (au format
Windows Media)
http://media.vrijschrift.org/ep_vote_datared_051214_en.wmv
- Flux vidéo en VO de la session plénière d'aujourd'hui (au format
Windows Media)
http://media.vrijschrift.org/ep_vote_datared_051214_or.wmv
- Conservation de données : l'usine à gaz s'emballe
http://wiki.ffii.org/DataRet0512En
- Actualités, prises de position et analyses sur le contenu de la
directive
http://wiki.dataretentionisnosolution.com
- Précédents communiqués de presse de la FFII
http://www.ffii.fr/-Communiques-de-presse-
-----------------------------------------------------------------------
URL permanente de ce communiqué
-----------------------------------------------------------------------
- http://www.ffii.fr/article211.html
-----------------------------------------------------------------------
Contacts
-----------------------------------------------------------------------
- Erik Josefsson
Représentant de la FFII à Bruxelles
ehj(a)ffii.org
+46 707 696567
(suédois/anglais)
- Gérald Sédrati-Dinet
Vice président et représentant en France de la FFII
gibus(a)ffii.fr
+33-6-60-56-36-45
(français/anglais)
-----------------------------------------------------------------------
À propos de la FFII -- http://www.ffii.fr/
-----------------------------------------------------------------------
L'Association pour une infrastructure informationnelle libre (FFII) est
une association à but non lucratif enregistrée dans divers pays
européens, ayant pour objet de promouvoir les savoirs dans le domaine
du traitement des données. La FFII soutient le développement de biens
informationnels publics fondés sur les droits d'auteur, la libre
concurrence et les standards ouverts. Plus de 850 membres, 3 000
sociétés et 90 000 supporters ont chargé la FFII de représenter leurs
intérêts dans le domaine de la législation sur les droits de propriété
attachés aux logiciels.
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Archives de la liste:
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-Thomas Jefferson, 3rd US president, architect and author (1743-1826)
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Serge Marelli, Luxembourg
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Hi,
the Heise Newsticker, the most important german online-news service for IT-related
themes, has an article about the reasons for Florian Mueller to refuse the price
he was to receive during the European of the Year Awards ceremony - Jean-Claude
Juncker received the main award. LiLux is mentioned (incl. Link) in the article:
http://www.heise.de/newsticker/meldung/67430
Let's hope sendar will survive the "heising" (analogous to slashdotting)...
Greetings, Eric
Pour info, Firefox 1.5 est supporté par le Webbanking Fortis Lux depuis aujourd'hui.
Frederic
---------- Message transmis ----------
Subject: RE: Web Banking et Firefox 1.5
Date: Mardi 6 Décembre 2005 12:41
From: "CONTACT CENTER BPI" <BPI.CONTACTCENTER(a)fortis.lu>
To: "Frederic Conrotte" <frederic(a)conrotte.be>
Monsieur Conrotte,
Nous nous permettons de revenir sur votre message du 3 décembre afin de vous informer que le navigateur Mozilla Firefox 1.5 sera supporté par l'application Web Banking à partir de jeudi 8 décembre courant d'après-midi.
En vous remerciant de votre intérêt nous vous prions de bien vouloir agréer, Monsieur Conrotte, l'expression de notre considération distinguée.
Sébastien Muccioli
Contact Center
Fortis Banque Luxembourg