Analyse pertinente, comme d'habitude.

Nous devrions interdire les systèmes d'exploitations et "bios" (firmwares) à code source fermés.
Nous devrions avoir la liberté de contrôler tout ce que font nos appareils "technologiques" (téléviseurs, compteurs électriques, smartphones, voitures "autonomes", ...) suivant le principe de la liberté de la presse: chaque citoyen peut exercer le rôle de "journaliste", et à ce titre voir tout ce qui se passe, et le rapporter aux autres citoyens. Il s'agit du quatrième pouvoir, celui qui garantit l'information de l'électeur et donc est à la base de la démocratie. Dans le monde digital, ce droit fondateur de la démocratie devient le droit d'accès au code source, et accessoirement le droit de recompiler le code et de le comparer au "binary" qui est chargé dans nos appareils (machine à voter comprise). Chaque citoyen doit avoir le droit de se muer en "journaliste", c'est-à-dire en "white hat hacker", afin de rapporter aux autres citoyens ce qui se passe dans ce monde digital.

Nos politiques ne sont pas là, mais ils ne sont pas cons et savent que ça s'impose... Simplement, tant que les électeurs ne seront pas sensibilisés, cet objectif ne sera pas électoralement payant, et donc n'aura pas leur oreille.

A nous d'informer et de sensibiliser nos concitoyens. Je pense que ça entre parfaitement dans les objectifs d'une association comme Libre Luxembourg (LiLux), la Liberté du point de vue I.C.T. !

Merci pour votre attention.

Le 08/06/2021 à 22:31, Brent Frère a écrit :

On entendait dire que le pass sanitaire ne contiendrait pas d'informations médicales, juste une certification de validité entre deux dates.
Que le moyen de le lire serait transmis par l'Europe sous forme de code-source ouvert.
Que la lecture du certificat ne nécessiterait pas de connexion Internet (qui implique un tracking des activités du porteur).

On n'en est plus là depuis très longtemps. En matière de protection de la vie privée en général, nous savons tous bien que nous sommes multi-espionnés par à peu près tout : GSM, browser, voitures genre Tesla, carte Visa, réseaux sociaux, etc., etc., etc., avec recoupement des bribes d'informations par des méthodes sophistiquées chez la NSA et à peu près tout le monde, privé, public, mafias, etc., etc. etc.

Mais dans le domaine médical, comme le savent certains, j'en connais un petit rayon en matière de stockage de l'information confidentielle dans les cabinets, les hôpitaux, etc. : qualité des logiciels (passons...), confidentialité, corruption des données par incompétence des programmeurs, sécurité (en gros : inexistante), etc., etc., etc.

Et ça s'aggrave rapidement :

https://www.youtube.com/watch?v=IWzmYE60_dc

tout cela (et bien plus), de façon parfaitement délibérée, bien entendu, de la part entre autres des GAFAM, de la NSA, etc., et avec la complicité active (et souvent directement pénalement répréhensible, genre corruption caractérisée, voir haute trahison), des « élus » des « démocraties », et ne nous fâchons pas en en tirant des conséquences en matière politique...

Bref : on n'en est plus là depuis longtemps.

Alain Louge
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